Des chercheurs australiens ont réussi, grâce à des protéines extraites du venin d’araignée, à stopper la croissance de cellules cancéreuses humaines… injectées à des souris.
Il s’agit d’une première étape – importante néanmoins - dans le processus de développement d’un traitement à usage humain. Les toxines contenues dans le venin d’araignée intéressent de longue date les spécialistes, en raison de leur potentiel pharmacologique. En l’occurrence, l’expérience a été conduite par une équipe de l’université du Queensland (Brisbane), qui a administré une protéine spécifique à des rongeurs développant une forme humaine de cancer mammaire. Il s’est avéré que cette substance avait ralenti de 70% la croissance des cellules tumorales « primaires », alors qu’elle s’est révélée encore plus efficace sur le contrôle des métastases.
En fait, plutôt que de détruire les cellules cancéreuses, elle en empêche la multiplication ; tout en bloquant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, facteurs de croissance majeur des tumeurs. Les chercheurs, qui intervenaient dans le cadre d’un congrès de l’American Chemical Society, affirment que des essais cliniques pourraient débuter chez l’homme à une échéance pas si éloignée que cela.
Source ... http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=10460 ...
Il s’agit d’une première étape – importante néanmoins - dans le processus de développement d’un traitement à usage humain. Les toxines contenues dans le venin d’araignée intéressent de longue date les spécialistes, en raison de leur potentiel pharmacologique. En l’occurrence, l’expérience a été conduite par une équipe de l’université du Queensland (Brisbane), qui a administré une protéine spécifique à des rongeurs développant une forme humaine de cancer mammaire. Il s’est avéré que cette substance avait ralenti de 70% la croissance des cellules tumorales « primaires », alors qu’elle s’est révélée encore plus efficace sur le contrôle des métastases.
En fait, plutôt que de détruire les cellules cancéreuses, elle en empêche la multiplication ; tout en bloquant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, facteurs de croissance majeur des tumeurs. Les chercheurs, qui intervenaient dans le cadre d’un congrès de l’American Chemical Society, affirment que des essais cliniques pourraient débuter chez l’homme à une échéance pas si éloignée que cela.
Source ... http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=10460 ...